Micro-entreprise : un pari réussi ?

Le régime de micro-entrepreneur mis en place en 2008 remplace celui d’auto-entrepreneur. Simplifié, il est créé selon un principe qui veut que les cotisations et contributions sociales (taxes, impôts, etc.) soient réduites en une cotisation unique et proportionnelle au chiffre d’affaires. Plus de 10 ans après, quelques ajustements ont été nécessaires. En 2011 notamment, les micro-entrepreneurs ont vu leurs charges augmentées par la Contribution à la formation professionnelle (CFP), la taxe pour les frais de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) ou de la Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA). Les dirigeants et dirigeantes d’une micro-entreprise sont également tenus de payer la Cotisation foncière des entreprises (CFE) dont le prix varie d’une commune à l’autre. Un critère à prendre en compte donc lorsque vous choisissez votre domiciliation de société en France…

Le régime du micro-entrepreneur en bref

Au moment de créer une entreprise, différentes options vont s’offrir à vous. Parmi les choix de départ, vous aurez à déterminer :

• Le statut juridique de l’entreprise ;
• Le régime fiscal ;
• Et le statut social.

Si vous optez pour le régime simplifié de micro-entrepreneur, vous serez soumis au régime social dit « micro-social ». La micro-entreprise est elle-même soumise à l’impôt sur le revenu avec la possibilité ou non d’être complétée par l’option de versement libératoire. En tant que micro-entrepreneur, vous êtes également rattaché au statut social de travailleur non salarié (TNS).

En d’autres termes, le micro-entrepreneur est une personne qui exerce une activité non salariée au sein d’une entreprise individuelle qu’elle a fondé. Tout le monde peut devenir micro-entrepreneur à condition de remplir certaines obligations que vous trouverez détaillées ici.

Une forte progression du nombre de micro-entreprises créées en 2018

Avec quelque 691 283 entreprises créées l’an passé, 2018 semble être un bon cru pour l’économie française. Cette hausse de 16,9% est un record jusque-là jamais égalé. Si tous les types d’entreprise sont concernés, ce chiffre est porté par le succès des micro-entreprises, en témoignent les chiffres de l’Insee :

• En 2018, la création de micro-entreprises augmente de 28% ;
• Au total, 66 500 nouvelles micro-entreprises sont immatriculées sur le territoire français ;
• Les secteurs porteurs sont ceux des activités spécialisées, scientifiques et techniques, du commerce, du transport et de l’entreposage puis des services ;
• Plus d’un tiers des micro-entreprises créées se situe en Île-de-France.

Grâce à cette alternative plus souple et abordable, les Françaises et les Français semblent séduits.

Les solutions de Domiciliation BURO à destination des micro-entrepreneurs

En quête de flexibilité, les micro-entrepreneurs ont des besoins spécifiques auxquels le réseau BURO Club répond parfaitement avec des offres modulables.

• Dans un premier temps, Domiciliation BURO propose une soixantaine d’adresses fiscales fiables dans toute la France, vous permettant ainsi de choisir la vôtre en fonction de la CFE applicable dans chaque commune. Domicilier une entreprise à Paris coûtera par exemple moins cher car c’est l’une des villes les plus compétitives du pays. Prestigieuses, ces adresses administratives vous offrent un gain de visibilité essentiel pour développer une activité. Aussi, BURO Club vous encourage à développer votre réseau professionnel en créant des connexions entre ses différents adhérents.
• Le réseau Domiciliation BURO a ensuite développé des offres ajustables à tout moment avec trois formules de domiciliation sur mesure. Ainsi qu’une gestion en interne de toutes vos tâches quotidiennes (courrier, appels téléphoniques, transmission des messages, etc.). Vous pouvez également profiter de services complémentaires avec un bureau personnel clé en main, idéal pour recevoir vos partenaires dans un cadre professionnel. Renseignez-vous auprès des différents centres d’affaires près de chez vous en savoir plus !